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« La passion est une obsession positive. L'obsession est une passion négative. »

© kath

LIONEL D'AMBREVILLE (ft. Alexander Skarsgård) † AGE : 29 ans † NE(E) LE : le 31 janvier 1631 † A : Leogane † LIEU DE RESIDENCE : Pirena † MÉTIER : second du capitaine du Pirena † NIVEAU SOCIAL : Noble déchu par son frère aîné. † GROUPE : Pirate ^^ † ALLÉGEANCE : Pirena † FAMILLE : père (mort) ; frère ainé : Richard D'Ambreville

Lionel d'Ambreville

Le Salvadore Pirena fait escale au port où tu soupçonnes que vit cette femme que tu recherches : Nueva Visitad, colonie espagnole tombée aux mains des Français. Obsession de tes pensées, cible de ta convoitise, tu sais qu'elle s'appelle Maddalena et qu'elle vit sur les hauteurs de la ville. Tu te présentes chez elle, prêt à la rencontrer - et là, sortant de la villa, c'est Adriel de Villalobos, ce misérable peintre auquel tu as arraché tes informations - avec des tenailles. Il sort visiblement d'une entrevue avec la belle muse de ses portraits, et la jalousie soudain te saisit.


Que penses-tu ? Que fais-tu ? Que dis-tu ? Raconte les réactions de ton personnage en 20 lignes minimum.

@ malicat lj & whoat
Tu n'as pas compris la première fois ?

L'atmosphère dans le navire commençait à me peser, les gars faisaient rien pourtant. Ils faisaient bien leur travail, remarque ils avaient intérêt, en ce moment mon humeur était encore plus tendu que d'habitude. Après mon entrevue -ou interrogatoire musclé si vous préférez- d'avec ce peintre de malheur, je ne pensais qu'à une chose : retrouver cette femme... D'une beauté saisissante. Comment pouvait-on être aussi belle ? Aussi parfaite ? Avoir ce regard qui vous transperce ? Le pire c'est que ce n'est qu'un tableau ! Avant de voir cette toile, j'aurais probablement pensé que la perfection n'existait pas, mais maintenant je pense différemment. La perfection, c'était elle... le modèle de ce chef d'œuvre.

C'est donc en cherchant l'auteur de cette toile que j'en saurais plus, je voulais la revoir... en vrai cette fois, je ne pensais qu'à ça. Sa bouche sensuelle, ses yeux, son nez, son visage et son corps parfait, il n'y a pas d'autres mots. Elle m'avait bel et bien ensorcelé. Et j'avais maintenant des informations la concernant, un nom, un nom qui lui allait à merveille : Maddalena, ce prénom sortait de ma bouche avec plaisir. Au départ j'avais eu le droit à des remarques sur ce prénom de la part des gars, « Qui c'est cette Maddalena ? » « C'est ta mère ? Ta sœur ? Elle est bonne ? » Et sitôt un mot de travers dit, je ne pouvais imaginer ce qu'ils pouvaient bien penser... Non, ils ne pouvaient pas s'imaginer Maddalena comme une femme qu'on saute et basta ! C'était ce genre d'évènements qui me faisaient perdre tout contrôle, j'avais une fois failli jeter un homme à la mer sous le jouc de la colère. Si Francesco n'avait pas été là, surement aurions-nous du recruter un nouveau pirate pendant cette escale. Qui était déjà très importante concernant mes recherches sur cette déesse.

Lorsque nous nous arrétâmes au port de la ville, je quittais le navire, prèt à affronter mon destin. D'acord, c'était cliché, mais je savais qu'elle habitait sur les hauteurs de la ville, dans une villa tout ce qu'il y avait de pas banal. Elle semblait avoir de l'argent, j'étais près à la rencontrer. Je me demandais comment j'allais réagir en la voyant face à moi... en chair et en os. Ce que je pensais d'elle changerait-il quelque chose ? Ou resterait-elle la femme qui hantait mes pensées ? Que je voulais plus que toute autre chose sur Terre et Mer.

Seulement je n'avais pas du tout pensé la rencontrer après un visiteur auquel je ne m'attendais pas. *Quel rat !* pensais-je, serrant mes mains de toutes mes forces, si bien que mes jointures blanchissent et que je marchais jusqu'à Adriel de Villalobos, le peintre qui avait immortalisé une telle beauté. Je n'étais pas dupe... Il y avait eu bien plus ou même y avait-il encore plus qu'une relation peintre/modèle. Une femme comme elle pouvait facilement avoir qui elle voulait dans son lit. Je ne devais pas penser à ça là maintenant ! Je m'avançais de manière à le bloquer contre le mur, ma main s'emparant de son cou pour l'immobiliser, je le regardais avec rage. « N'as-tu pas compris la dernière fois que je ne voulais plus que tu la vois ? » Lui demandais-je, mon regard emprunt d'une rage que je ne saurais probablement pas canaliser, notre entrevue semble-t-il n'avait pas servi à grand chose. « Tu veux peut-être qu'on trouve des tenailles ou peut-être une hache pour que tu comprennes bien la leçon ? Si je te coupais la main, tu saisirais le message ou pas ? » Tiens, c'était une idée, il ne pourrait plus peindre et moi... moi je serais ravi. Ma main libre se porta tout naturellement au niveau de ma taille, mon sabre y étant accroché... Étais-je jaloux ? Il n'y a pas de doute là-dessus, je le suis bien en ce qui concerne Maddelena.

Lionel d'Ambreville est un homme intelligent, cultivé, poète dans l'âme, il a été le chouchou de son père pour ça. Aimant lire, apprendre on aurait bien pu croire qu'il finirait philosophe ou prof pour les enfants peut-être ? Qui pouvait savoir ? Seulement en plus d'être le chouchou de son père, charmant avec assez de charme pour avoir les filles qu'il voulait, il tenait à son frère, il ne se doutait pas que celui-ci par jalousie allait le virer de la maison familiale et le déshériter. C'est là que la vision du monde de Lionel changea et qu'il se décida à devenir pirate, la colère du à ce que lui avait fait son frère fut une de ses armes pour se faire entendre et un plus pour sa condition. Seulement il peut rentrer dans des colères monstres, faisant même peur à ses camarades. Charmeur, depuis qu'il a vu un tableau, il développe une obsession pour une femme qu'il n'a jamais vu et veut en savoir plus sur elle... Il a assez de jugeote et n'hésite pas à utiliser la manière forte quand il le faut, ne s'encombrant pas de scrupule, le plus important pour lui sera toujours de se faire de l'argent. Il ne fait pas confiance rapidement mais est souvent déçu...

Lionel d'Ambreville est venu au monde le 31 janvier 1631 à Leogane, d'une famille de deux enfants, il a toujours pensé que son frère ainé et lui s'entendaient bien. Après tout, entre eux deux ça allait, ils jouaient ensemble, aucun éléments grave n'aurait fait penser à autre chose. Tout allait bien aux dernières nouvelles. Plus proche de son père que de sa mère, Lionel est le chouchou de son paternel qui aime l'intelligence, la culture, les choses raffinées. Et comparé à son grand frère, il est clair que Lionel avait toutes ses qualités. Fils de bonne famille, ils n'ont pas de problèmes d'argent, seulement pour le frère Lionel n'était qu'un problème... Si bien qu'à la mort de leur père, il déshérita son jeune frère et le chassa de la maison familiale, n'ayant aucunement apprécié cette préférence qu'avait eu leur père.

C'est suite à cela que Lionel, en colère et se sentant trahi par son ainé qu'il décida de devenir pirate. Voguer sur les mers, ne pas avoir de port d'attache, être libre, lui qui n'avait plus de foyer, plus de famille... Se serait un bon moyen de laisser évacuer toute sa colère, sa frustration, il se rapprocha de Francesco Alvarez, le capitaine du Pirena dont il partage les idéologies. Il deviendra son second et sera respecté par la peur par l'équipage. Lionel connu pour ses colères il est cependant un très bon stratège, s'occupant de préparer les pillages, les attaques, lui et Francesco sont en quelque sorte complémentaire. Sans Francesco, il est fort probable que Lionel ne soit pris dans aucun autre navire, au vu de ses colères qui ferait bien vite peur à d'autres capitaines, tenant un tant soit peu à son équipage. Cependant Lionel est fidèle au Pirena et à son capitaine, il n'y aura surement jaamis de mutinerie.

Il ne parle à personne de ce qu'il ressent vraiment, personne ne connait le pourquoi de sa profession ? Vocation de pirate ? Personne ne sait qu'il a un frère, que celui ci l'a répudié, déshérité, chassé de chez lui, Lionel ne veut tout simplement pas en parler. Cela l'a bien trop touché pour qu'il se confie a quelqu'un, qu'il expose ses faiblesses à qui que se soit. A qui se confier ? Exposer ce qui le fait souffrir ? Personne. Surtout que quand on est pirate, c'est soit fort et tu vivras, sinon repose en paix ! Seulement la confiance... il a du mal à la donner mais est du genre à se faire des illusions, un de ses points faible à n'en pas douter, étant souvent déçu.

Mais suite à un pillage, il se trouve qu'un tableau a changé ses préoccupations premières. Une femme s'étendant sur la toile, magnifique, parfaite, déclenche une obsession. Par nature il est du genre têtu donc n'aura pas de mal à trouver des informations sur la jeune femme, dans l'espoir de la rencontrer. Une obsession, juste cela... juste envie de la voir en vrai.

Maddalena Degli Angeli – Obsession
Depuis qu'il a vu son portrait au cours d'un pillage, elle est devenue une obsession. Fasciné par elle, sa beauté, son corps, il souhaite la retrouver. Ne s'encombrant pas de scrupule, il en vient même à la torture pour obtenir des informations sur ce modèle. Si bien qu'il réussit à obtenir ce qu'il cherche et que bientôt il la rencontrera. Ce n'est plus qu'une question de temps.

Adriel De Villalobos – Jalousie
Il est le peintre qui a peint un chef d'oeuvre. La personne susceptible de lui donner les informations qu'il cherche sur le modèle. Il aura du user de torture pour avoir c qu'il était venu chercher. Seulement sans le savoir il est jaloux de lui, lui qui la connait, Lionel commence à développer une possessivité à l'égard de la jeune femme, bien qu'il ne l'ait jamais rencontré, qu'il n'en sache pas beaucoup, elle est son obsession... A LUI ! Mais ce n'est pas grave, parce que vu l'état dans lequel Lionel a laissé Adriel, il est fort peu probable qu'elle veuille le revoir.

Joseph Terney – Respect
Pour une femme tout ce qu'il y a de plus banal, les deux hommes se sont affronté pour l'avoir... Aucun ne l'a eu, mais ce n'était pas grave, parce qu'au final, la soirée dans cette taverne de Nevis, ils l'ont passé tout les deux à boire une chopine, la catin on ne sait où. Ce fut au moment de partir qu'ils se sont rendus compte qu'ils étaient ennemis. Mais le respect entre les deux hommes fut le plus fort et ils se séparèrent sans se battre.

Francesco Alvarez – Capitaine
Sans Francesco, Lionel le sait, il n'aurait pas pu devenir pirate. Aucun autre navire ne l'aurait accepté à cause de ses humeurs, Francesco lui a donné sa chance. Et pour ça, Lionel est fidèle à son capitaine, admire la poigne et sa manière de mener l'équipage. Chose qu'il fait très bien. Dans un sens, ils sont complémentaire, Francesco s'occupant de l'équipage, Lionel lui utilisant son intelligence pour la stratégie...

† PRENOM ; PSEUDO : Morgane † AGE : 18ans † GARCON OU FILLE ? Fille † OU AS-TU CONNU AUDACIA ? Par Maddalena degli Angeli via PRD via une annonce pour ce rôle † TON AVIS ? DES SUGGESTIONS ? Ce forum a un contexte intéressant, même si c'est mon premier forum de pirate... † AUTRE(S) COMPTE(S) : † LE MOT DE LA FIN : J'adore Alexander Skarsgård ♥

Lionel d'Ambreville

Le Salvadore Pirena fait escale au port où tu soupçonnes que vit cette femme que tu recherches : Nueva Visitad, colonie espagnole tombée aux mains des Français. Obsession de tes pensées, cible de ta convoitise, tu sais qu'elle s'appelle Maddalena et qu'elle vit sur les hauteurs de la ville. Tu te présentes chez elle, prêt à la rencontrer - et là, sortant de la villa, c'est Adriel de Villalobos, ce misérable peintre auquel tu as arraché tes informations - avec des tenailles. Il sort visiblement d'une entrevue avec la belle muse de ses portraits, et la jalousie soudain te saisit.


Que penses-tu ? Que fais-tu ? Que dis-tu ? Raconte les réactions de ton personnage en 20 lignes minimum.

Code:

[list]<div style="background-color:#000000; border: 2px solid #ffffff;  -moz-border-radius: 16px;  -webkit-border-radius: 16px; padding: 15px;">[i]Lionel d'Ambreville[/i]

Le Salvadore Pirena fait escale au port où tu soupçonnes que vit cette femme que tu recherches : Nueva Visitad, colonie espagnole tombée aux mains des Français. Obsession de tes pensées, cible de ta convoitise, tu sais qu'elle s'appelle Maddalena et qu'elle vit sur les hauteurs de la ville. Tu te présentes chez elle, prêt à la rencontrer - et là, sortant de la villa, c'est Adriel de Villalobos, ce misérable peintre auquel tu as arraché tes informations - avec des tenailles. Il sort visiblement d'une entrevue avec la belle muse de ses portraits, et la jalousie soudain te saisit.
<blockquote>[i]Que penses-tu ? Que fais-tu ? Que dis-tu ? Raconte les réactions de ton personnage en 20 lignes minimum.[/i]</blockquote></div>[/list]

Je pense que ça m'inspire, je vais tenter aujourd'hui. Après tout j'ai largement le temps Bon je m'y mets.

Lionel d'Ambreville

Le Salvadore Pirena fait escale au port où tu soupçonnes que vit cette femme que tu recherches : Nueva Visitad, colonie espagnole tombée aux mains des Français. Obsession de tes pensées, cible de ta convoitise, tu sais qu'elle s'appelle Maddalena et qu'elle vit sur les hauteurs de la ville. Tu te présentes chez elle, prêt à la rencontrer - et là, sortant de la villa, c'est Adriel de Villalobos, ce misérable peintre auquel tu as arraché tes informations - avec des tenailles. Il sort visiblement d'une entrevue avec la belle muse de ses portraits, et la jalousie soudain te saisit.


Que penses-tu ? Que fais-tu ? Que dis-tu ? Raconte les réactions de ton personnage en 20 lignes minimum.

@ malicat lj & whoat
Tu n'as pas compris la première fois ?

L'atmosphère dans le navire commençait à me peser, les gars faisaient rien pourtant. Ils faisaient bien leur travail, remarque ils avaient intérêt, en ce moment mon humeur était encore plus tendu que d'habitude. Après mon entrevue -ou interrogatoire musclé si vous préférez- d'avec ce peintre de malheur, je ne pensais qu'à une chose : retrouver cette femme... D'une beauté saisissante. Comment pouvait-on être aussi belle ? Aussi parfaite ? Avoir ce regard qui vous transperce ? Le pire c'est que ce n'est qu'un tableau ! Avant de voir cette toile, j'aurais probablement pensé que la perfection n'existait pas, mais maintenant je pense différemment. La perfection, c'était elle... le modèle de ce chef d'œuvre.

C'est donc en cherchant l'auteur de cette toile que j'en saurais plus, je voulais la revoir... en vrai cette fois, je ne pensais qu'à ça. Sa bouche sensuelle, ses yeux, son nez, son visage et son corps parfait, il n'y a pas d'autres mots. Elle m'avait bel et bien ensorcelé. Et j'avais maintenant des informations la concernant, un nom, un nom qui lui allait à merveille : Maddalena, ce prénom sortait de ma bouche avec plaisir. Au départ j'avais eu le droit à des remarques sur ce prénom de la part des gars, « Qui c'est cette Maddalena ? » « C'est ta mère ? Ta sœur ? Elle est bonne ? » Et sitôt un mot de travers dit, je ne pouvais imaginer ce qu'ils pouvaient bien penser... Non, ils ne pouvaient pas s'imaginer Maddalena comme une femme qu'on saute et basta ! C'était ce genre d'évènements qui me faisaient perdre tout contrôle, j'avais une fois failli jeter un homme à la mer sous le jouc de la colère. Si Francesco n'avait pas été là, surement aurions-nous du recruter un nouveau pirate pendant cette escale. Qui était déjà très importante concernant mes recherches sur cette déesse.

Lorsque nous nous arrétâmes au port de la ville, je quittais le navire, prèt à affronter mon destin. D'acord, c'était cliché, mais je savais qu'elle habitait sur les hauteurs de la ville, dans une villa tout ce qu'il y avait de pas banal. Elle semblait avoir de l'argent, j'étais près à la rencontrer. Je me demandais comment j'allais réagir en la voyant face à moi... en chair et en os. Ce que je pensais d'elle changerait-il quelque chose ? Ou resterait-elle la femme qui hantait mes pensées ? Que je voulais plus que toute autre chose sur Terre et Mer.

Seulement je n'avais pas du tout pensé la rencontrer après un visiteur auquel je ne m'attendais pas. *Quel rat !* pensais-je, serrant mes mains de toutes mes forces, si bien que mes jointures blanchissent et que je marchais jusqu'à Adriel de Villalobos, le peintre qui avait immortalisé une telle beauté. Je n'étais pas dupe... Il y avait eu bien plus ou même y avait-il encore plus qu'une relation peintre/modèle. Une femme comme elle pouvait facilement avoir qui elle voulait dans son lit. Je ne devais pas penser à ça là maintenant ! Je m'avançais de manière à le bloquer contre le mur, ma main s'emparant de son cou pour l'immobiliser, je le regardais avec rage. « N'as-tu pas compris la dernière fois que je ne voulais plus que tu la vois ? » Lui demandais-je, mon regard emprunt d'une rage que je ne saurais probablement pas canaliser, notre entrevue semble-t-il n'avait pas servi à grand chose. « Tu veux peut-être qu'on trouve des tenailles ou peut-être une hache pour que tu comprennes bien la leçon ? Si je te coupais la main, tu saisirais le message ou pas ? » Tiens, c'était une idée, il ne pourrait plus peindre et moi... moi je serais ravi. Ma main libre se porta tout naturellement au niveau de ma taille, mon sabre y étant accroché... Étais-je jaloux ? Il n'y a pas de doute là-dessus, je le suis bien en ce qui concerne Maddelena.

Verdict ? * *